Dawn of Green Lantern Tome 1
Point(s) fort(s) :
Beaucoup d'action.
Le prélude à GL War Journal.
Point(s) faible(s) :
Très classique.
Les Planètes Unies ont désormais autorité sur le Corps des Green Lantern. Un des premiers décrets est de mettre la Terre en quarantaine. Hal Jordan retourne sur Terre, sans anneau. Il se retrouve à vivre dans une caravane. Sans emploi, il tente de renouer avec Carol. Mais un événement va tout changer.
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Editeur : Urban Comics
Top Gun Highball
Dawn of Green Lantern tome 1 est un renouveau pour le guerrier d’émeraude. Hal Jordan revient au premier plan. Désormais, Jeremy Adams est en charge de sa destinée. Le scénariste repart sur des bases pas si nouvelles.
En territoire connu
Au début de l’album, Hal Jordan est à nouveau au point mort. Il a quitté le Corps des Green Lantern, il est célibataire, sans emploi et vit dans une caravane. Hal se caractérise par son incroyable volonté. Il fait tout son possible pour trouver un emploi. Il en fait également beaucoup trop pour récupérer Carol, l’élue de son cœur. Le harcèlement n’est pas loin. Si vous avez déjà lu du Green Lantern, ces situations ne sont pas nouvelles. Hal Jordan n’évolue pas beaucoup. C’est flagrant quand il effectue un team-up avec Barry Allen, qui lui a enfin vu sa situation évoluée.
Xermanico effectue un beau travail.
Heureusement, Adams se rattrape avec une histoire prenante, à défaut d’être originale. La Terre est en quarantaine, abandonnée du Corps. Évidemment, Hal obtient un anneau vert. Cela lance un mystère et suscite les convoitises de Sinestro. La deuxième partie du récit comprend beaucoup d’action. Le tout est superbement dessiné par Xermanico. Aidé par Scott Godlewski pour quelques planches lors du chapitre 6. Le twist de fin et l’apparition inattendue d’un personnage relance l’intrigue et promet du plus lourd pour le tome 2.
Fils à maman
Dawn of Green Lantern tome 1 inclut deux numéros de Knight Terrors. Malgré qu’il soit écrit par Jeremy Adams, ils ont très peu d’utilité. Le lecteur aurait pu faire sans.
L’album se termine par 30 pages de prélude à Green Lantern War Journal, titre consacré à John Stewart. Philip Kennedy Johnson ne fait qu’introduire son histoire et pourtant il donne déjà envie de lire la suite. La méchante est flippante, le Lantern Sheperd est charismatique, John est touchant. Montos propose des dessins un peu plus « sales » que Xermanico, et ça en jette.
Dawn of Green Lantern tome 1 est une réintroduction décente à l’univers des Green Lantern, mais qui donne envie de lire la suite.
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Nico
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