JSA Chronicles 2002
Point(s) fort(s) :
Les chapitres qui approfondissent les personnages.
Les dessins, surtout de Carlos Pacheco.
L'éditorial.
Point(s) faible(s) :
Plusieurs répétitions de mots.
Les courtes histoires sur la Justice League.
Dans ce tome, la JSA est confronté à de multiples menaces. Elle est projeté dans un monde dystopique dirigé par l’un de leurs ennemis. Elle fait équipe avec la Justice League pour affronter un dictateur cosmique. Certains membres sont projetés dans le passé jusqu’à l’Egypte ancienne. La JSA connait rarement le repos.
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Editeur : Urban Comics
L’héritage en leitmotiv
JSA Chronicles 2002 est un grand moment de lecture. À l’instar du précédent, les auteurs gèrent avec brio les multiples intrigues, et les personnages encore plus nombreux. Malheureusement, l’écrin d’Urban Comics ne s’avère pas à la hauteur.
La meilleure équipe
Commençons par le positif. Geoff Johns et David S. Goyer mêlent brillamment arcs épiques et épisodes plus calmes. La JSA se retrouve dans une dystopie et les auteurs ne choisissent pas la facilité puisqu’ils introduisent des nouveaux personnages que sont Hourman et Crimson Avenger. Le deuxième arc remonte le temps et offre un éclairage, qui était neuf en 2002, sur Black Adam. Ces deux arcs sont très prenants.
Les épisodes « filler » sont l’occasion d’approfondir les personnages. Le lecteur en apprend plus sur la relation entre Hourman et son père. Un chapitre dans l’air du temps montre Power Girl victime d’un harceleur. Le dernier chapitre introduit une césure dans l’équipe, certains étant partisans d’une justice plus expéditive.
En bonus, Urban propose l’excellent « Virtue & Vice » où la JSA et la Justice League font équipe face à des ennemis imposants. C’est du pur comics de super-héros rehaussé par les dessins incroyables de Carlos Pacheco. Un moment jouissif.
Aux dessins, Stephen Sadowski dessine très peu de numéros. Il cède sa place à Leonard Kirk. Ce dernier assure un excellent boulot dans un style classique qui correspond bien à Société de Justice.
Le véritable méchant
Dans les points négatifs, il y a un chapitre annexe trop long. Si la partie écrite par le duo Johns/Goyer s’inscrit parfaitement dans le run. Le reste concerne la JLA et est difficilement compréhensible.
Le principal souci est un manque de relecture. Plusieurs fautes, majoritairement des répétitions de termes, se sont glissées dans les bulles, et même en quatrième de couverture. Ajoutez à cela que beaucoup d’exemplaires sont arrivés abimés en librairie. Urban Comics devra faire des efforts sur le tome suivant.
JSA Chronicles 2002 est un excellent titre en termes de scénario et de dessins. Malheureusement, la faible qualité de fabrication et un manque criant de relecture ternissent l’ouvrage.
PS : Si je ne jugeais que le contenu, ma note serait de 4,5/5
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