Dawn of Green Lantern Tome 2
Point(s) fort(s) :
PKJ en grande forme.
Les dessins de Montos, Xermanico et Nahuelpan.
Point(s) faible(s) :
Hal Jordan est confronté au Planètes Unies. Il lui est reproché d’avoir opéré illégalement dans une zone de quarantaine. Le Green Lantern ne tarde pas à découvrir que les PU consolident leur pouvoir par des moyens peu légaux.
Dans le même temps, John Stewart ne peut pas profiter d’une retraite anticipée puisqu’il est pris pour cible par une entité issue d’une autre dimension.
:
:
:
:
Editeur : Urban Comics
Green Lantern Chronicle
Dawn of Green Lantern tome 2 présente un double programme. Une continuation du run de Jeremy Adams ainsi que la série consacrée à John Stewart. La qualité n’est présente que dans un cas. Au point que l’on peut se demander quelle est la véritable série secondaire.
Geoff Johns low cost
Suivons l’ordre d’Urban Comics, et commençons avec le deuxième arc de la série consacrée à Hal Jordan. Jeremy Adams explique enfin la situation de départ de son run avec un épisode flashback. Celui-ci montre bien le changement de gouvernance pour les Green Lantern. Le scénariste a corrigé le caractère de Hal, il est bien moins lourd. Néanmoins, Adams n’est pas très inspiré dans son script. Il y a pas mal de facilités dans le récit. Thaaros, le grand méchant, est devenu caricatural. Ce qu’il n’était pas lors de Superman Infinite.
Le scénario a plein de petits défauts qui empêchent de rendre la lecture mémorable, et la cantonne au rôle de divertissement sympathique. Heureusement, les dessins signés Amancay Nahuelpan et Xermanico sont très beaux.
Montos réalise des prouesses dans Green Lantern War Journal.
Vive le bâtisseur
La seconde partie de l’album comprend la maxisérie Green Lantern War Journal écrite par Philip Kennedy Johnson. Elle suit John Stewart qui doit redevenir un Lantern pour faire face à une menace venue d’une autre dimension. D’un pitch basique, PKJ déploie un récit dense. L’auteur propose du space opéra, une petite dose d’horreur, de la construction de mythologie et de l’émotion grâce à Shirley Stewart, la mère de John. PKJ travaille bien la psychologie du personnage principal, il est pris entre ses obligations de super-héros et son devoir familial. Il assume les deux faces de John, à la fois soldat et architecte.
Si le récit est excellent, c’est aussi grâce à la partie graphique. Montos dessine l’entièreté de la série. Il peut encore s’améliorer sur les visages humains qui sont parfois surexpressifs. Par contre, le reste est une grosse claque graphique. Le dessinateur est né pour dessiner du space opéra. En plus, les couleurs d’Adriano Lucas et Chris Sotomayor parachèvent le splendide travail.
Dawn of Green Lantern tome 2 vaut l’achat (selon moi) pour l’exceptionnel récit complet consacré à John Stewart. Il faut toutefois faire avec les 150 pages de Green Lantern basique en début d’album.
Ils ont kiffé :
Si vous aimez nos contenus, vous pouvez nous soutenir sur Tipeee !
Vous pouvez retrouver l’ensemble des comics chez notre partenaire Excalibur Comics, libraire en ligne indépendant !
N’hésitez pas à le dire dans les commentaires. Ça nous fait toujours plaisir de vous lire.
Pour faire connaitre le site et nous soutenir, vous pouvez aussi partager nos publications sur les réseaux sociaux ou vous abonnez à notre newsletter.
Merci.
5/5 J’adore
4/5 Trés cool
3/5 Sympa
2/5 Sans plus
1/5 Bof
0/5 Pas pour moi
Merci
Nico
Accueil › Forums › Dawn of Green Lantern Tome 2