[Review] Deathstroke Tome 2
Point(s) fort(s) :
Point(s) faible(s) :
Deathstroke Tome 2 offre une narration compliquée mais un fond passionnant qui permet à cette série d’être l’une des plus en vogue de DC Comics. Retrouvez Slade Wilson en proie à des affaires de famille pas toujours des plus saines et qui ne se règlent pas autour d’un bon repas.
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Editeur : Urban Comics
Deathstroke strikes again
De retour avec le tueur à gages le plus célèbre de l’univers DC comics, Deathstroke nous revient pour un deuxième tome. Ce dernier est divisé en trois parties, correspondant à 3 arcs distincts même s’il existe une trame de fond commune.
Le premier arc par Christopher Priest est dessiné par Carlo Pagulayan prend la suite directe du premier tome de Deathstroke Rebirth. L’intrigue se concentre sur les affaires de la famille Slade et pourrait se résumer à : “comment laver son linge sale en famille”. Vous y retrouverez tout le charme d’une famille compliquée : amour, trahison, vengeance et… Superman !
Le deuxième arc par Christopher Priest est dessiné par Cary Nord. Le changement de dessinateur est flagrant et pas forcément dans le bon sens mais n’est pas pire que le dernier chapitre du tome.
Cet arc narre les débuts de Slade Wilson lors d’une petite escapade a Srebrenica en Bosnie. Il s’agit de la narration de Slade lors d’un interrogatoire. Une histoire sympathique qui a le mérite de mettre en lumière la vie de Slade Wilson avant Deathstroke ainsi que la rencontre avec Wintergreen
Le troisième arc toujours par Christopher Priest mais avec cette fois-ci Denys Cowan au dessin est anecdotique ou alors m’a complètement échappé. Du coup je ne vais pas m’étaler dessus. Sans compter que les dessins ne sont pas le point fort de ce numéro.
Globalement, La narration est très compliquée et comme dirait le boss, ce n’est pas un livre que tu lis au pieu a moitié endormi. Les allers-retours passé/ présent, les relations et les sauts entre les membres de la famille Wilson nécessitent une attention particulière et si vous n’êtes pas au fait de l’arbre généalogique de Slade Wilson, passez votre chemin. On retrouve donc les mêmes travers que ceux que j’avais pointé dans le premier tome 1. Par contre, si vous être bien réveillés et que vous arrivez à suivre la narration, Deathstroke reste dans les bons titres Urban du moment.
Sur la même longueur que le premier tome, avec les mêmes qualités et les mêmes défauts, avec en plus un dernier chapitre inutile.
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Captain Talbot
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