The Nice House on the Lake tome 2
Point(s) fort(s) :
Dessin immersif.
Superbe édition.
Point(s) faible(s) :
The Nice House on the Lake tome 2 demeure toujours très qualitatif,. On pourra tout de même déplorer que la série annoncée “complète en deux tomes” se termine sans répondre à des questions pourtant majeures dans l’intrigues et qu’un fatal “fin du cycle 1” viennent clore le récit.
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Editeur : Urban Comics
Un coup d’épée dans l’eau
The Nice House on the Lake tome 2 est la suite (et fin?) du nouveau récit de James Tynion IV, publié outre atlantique dans le Black Label de DC Comics. L’ouvrage nous est toujours proposé en VF par Urban Comics, dans une édition grand format au pris de 20 euros pour 192 pages.
It’s the end of the world (as we know it)
The Nice House on the Lake tome 2 met en scène un groupe de gens, réunis autour de leur ami Walter. Alors que la fin du monde a lieu tout autour d’eux, Walter a réuni ses amis dans une splendide maison afin de les protéger. Walter est en réalité une créature non-humaine, dont les pairs sont à l’origine du désastre. Ses amis sont pourtant bien décidés à ne pas vivre dans la prison dorée qu’il leur a préparé.
Tromperie sur la marchandise !
Je suis un peu remonté. Probablement que cela va altérer quelque peu mon avis portant sur The Nice House on the Lake tome 2. L’excellent tome 1 annonçait un récit complet en deux tomes, ce qui n’est, à mon avis, absolument pas le cas. Vous vous ferez votre avis, mais selon moi, le récit n’est absolument pas fini à l’issue des deux tomes. Tant il reste de questions en suspens, tant l’intrigue n’est même pas réellement conclue au final.
James Tynion IV avec nos nerfs
Le volume 2 de la série m’a tout à fait désarçonné. A tel point que je me suis demandé si je n’avais pas oublié quelque élément narratif durant le mois écoulé depuis la lecture du tome 1. Je ne suis pas un grand fan de ce genre de procédés qui ajoutent, à mon sens, de la complexité narrative de manière artificielle. Mais lors du dénouement de ce “flou” l’on parvient à saisir son “pourquoi” qui demeure cohérent, à la fois avec les éléments décrits dans le tome précédent, mais avec la poursuite du récit. Demeure par la suite un dénouement très insatisfaisant, avec un note assassine en fin de récit “fin du cycle 1”, qui m’a donné l’impression de m’être fait avoir concernant ce récit annoncé comme “complet en deux tomes”.
J’ai changé d’avis concernant le dessin
Lors de ma critique de The Nice House on the Lake tome 1, j’avais émis quelques réserves concernant le graphisme du titre. Je trouvais le dessin trop flou, la ligne trop peu claire. Je me ravise, en comprenant ce que Alvaro Martinez Bueno veut transmettre. Walter est assez fuyant, de caractère et ses “capacités” le rendent vaporeux. De même que la mémoire des autres protagonistes demeure embrumée. Et c’est effectivement tout ce que transmet le dessin de l’artiste.
Bref, si The Nice House on the Lake tome 2 demeure toujours très qualitatif, j’ai du mal à passer outre le fait que le récit ne soit pas terminé et donc pas complet comme pourtant annoncé. M’enfin, vivement la suite !
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